LIMITES ET DISTRIBUTION DU TERROIR

 

A la veille de la Révolution le territoire de la communauté de Tréziers était bordé par ceux des communautés de Balaguier,  Camon, Lagarde, Roumengoux,  Cazal des Faures et Caudeval. Ces limites sont resté pratiquement les mêmes que celles de l’actuelle commune de Tréziers.

LIMITES SEIGNEURIALES

LIMITES 
Seule différence, après les réorganisations administratives de la République,  Corbière  fusionna avec Balaguier. Le hameau de La Faure qui constituait une enclave de Balaguier fut rattaché à Tréziers. A l’ouest les terres de la Redonde qui appartenait à Roumengoux furent annexées par la commune du Cazal des Faures, qui deviendra Moulin Neuf en 1877.
La métairie de L'Espagnol qui était tenue par Jean Carrié dit « biscaïre », avec près de trente neuf hectares, se distinguait par son importance. Philippe Clergue, qui se qualifiait de bourgeois, avait vingt sept hectares. Pierre Roussel du Cazal des Faures avait vingt deux hectares à Tréziers. Jacques et Dominique Caraben de Laillet possédaient respectivement dix neuf et dix huit hectares. Jean Roussel de Laillet avait dix huit hectares.
 
Au milieu du dix huitième siècle le territoire de Tréziers était divisé en de multiples parcelles. Mille quatre vingt dix sept lopins de terre étaient distribués en champs, vignes, prés, bois, herms, jardins, maisons. Quatre familles détenaient chacune plus de cinquante parcelles. Le quart des exploitants se contentaient, au plus, de deux lopins.
 

ISSN : 1626-0139

 

19/04/2021

 

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