Curés et
Révérends Dans les siècles passés le prêtre en charge de la paroisse de Saint-Martin de Tréziers était un personnage qui, encore plus que les seigneurs, déterminait fermement les caractéristiques de la vie sociale des communautés de Tréziers et du Cazal des Faures. En langue populaire, l’occitan dit-on de nos jours, on l’appelait communément « le rictou ». Au fil du temps, dans les annales et les documents, on lui donna des noms divers. Dans des temps les plus anciens ce fut le capelan. Au dix huitième siècle, c'est le recteur, plus rarement le curé. Souvent un chanoine de la cathédrale de Mirepoix recevait la charge de la paroisse de Tréziers. Dans la pratique, il se faisait remplacer par un vicaire. Il conduisait les âmes, disait la messe et administrait les sacrements. A la Révolution, l'Assemblée Nationale en votant la constitution civile du clergé, fit du curé un fonctionnaire de l'Etat. Il devait prêter serment devant les représentants du peuple. On disait alors de lui qu’il était assermenté, constitutionnel ou encore jureur. L'organisation territoriale de l'Eglise était calquée sur le découpage administratif de la France. Il fut prévu 50 diocèses et au moins une cure par canton. En accord avec le Préfet l'évêque divise les cures en succursales. Le curé est à la tète de la cure. Dans la succursale il y a le desservant. Il peut être aidé par un vicaire. Tréziers a le statut de succursale. |
||
Après 1801 le
vocabulaire s'amenda. |
||
CURES SOUS L'ANCIEN REGIME | DE GRANIER A CARABEN | PHILIPPE DANTOINE |
PREMIERS CURES Anecdotes |
JEAN BAPTISTE BERGE 1778-1822 |
JEAN PIERRE LABORGNE
|
PIERRE ROUANET | ACHAT DU PRESBYTÈRE | EXUPERE GAUBIL |
DERNIERS CURES
|
LEON MARTY | |
|
||
|
||
ISSN : 1626-0139 |
||
18/10/2010 |
||
mail to : faure.robert@wanadoo.fr
|
||